FemmExpo2011



Layers To A Collective Voice
For FemmExpo 2011.
Mixed medium. 5" x 6,25. 2011.

Faces on sides and dark figures in the background represent the tyrannants surrounding women in judgement of appearance. The four women behind the hanging wigs feel intimidated, they are stood far from the experience as they don’t want to witness the pain internally or externally. The wigs in the air are the interpretation of beauty waiting to be sown on us. In front of them, two women, who represent resistance are hanging from the ceiling to avoid falling into the trap.

Layers of women in various body shapes and sizes in a doll-faced woman who represent a collective voice for every single woman. Their bodies shape a heart which is the central spot of a doll-faced woman who is the core of the experience. She tries to take control of her balance as her hands grasp into the wall of the dark tyrannants while remained stuck in the cycle.

The blood stain colour is the destruction of tyrannism, the painful experience leads us to a bleeding heart and in some circumstances death.


Amalgame pour une voix collective
Pour FemmExpo 2011.
Techniques mixtes. 5" x 6,25". 2011.

Visages apparaissant des côtés du tableau et les personnages sombres en arrière-plan représentent les tyrans qui encerclent les femmes et évaluent leur apparence. Les quatre femmes derrière les perruques suspendues se sentent intimidées, elle se tiennent éloignées de la situation pour éviter de ressentir la douleur. Les perruques suspendues symbolisent la beauté qui attend d’être semée en nous. Face à elles, deux femmes qui représentent la résistance se cramponnent au plafond pour éviter de tomber dans le piège.

Les femmes superposées aux formes et aux dimensions diverses dans le corps de la figure de poupée qui représente une voix collective s’exprimant pour chaque femme. Elles forment un cœur qui constitue le point central d’une femme au visage de poupée qui incarne le noyau de l’expérience féminine. Elle tente de trouver son équilibre quand ses mains s’agrippent au mur où se tiennent les tyrans, et demeurent prisonnières du cercle.

La couleur du sang rappelle les sévices de la tyrannie qui font saigner nos cœurs et peuvent même, dans certaines circonstances, entraîner la mort.